mardi 28 septembre 2010

photo de truc




Dr Caso nous invite à publier chez elle la photo de "quelque chose bien de chez nous".

(ce qui m'a plongée dans moult questions existentielles : où est ce chez moi : dans le Nord ou en Haute Savoie ? )

Comme j'ai déjà diffusé la célèbre photo de la baraque à frites, c'est la montagne qui gagne cette fois ci :

jeudi 23 septembre 2010

fiction

youhou nous voilà de retour !
L'avantage d'être en Espagne c'est qu'on est totalement coupés de l'"actualité".(nous ne parlons l'un et l'autre, ni le catalan, ni le castillan).

A peine arrivés sur la première aire d'autoroute française de la route du retour que la télé braillait l'intention de Brice Hortefeux de munir les tribunaux correctionnels de jurys populaires, au secours (théorie : Brice Hortefeux aurait il mal mal supporté, adolescent, son traitement au roacutane ? ce qui expliquerait bien des choses à propos de son teint fleuri et de sa personnalité ?)

Bref, il va encore falloir jouer serré pour échapper à la démagogie ambiante (je me limite à la revue de presse de France inter à 8h30 dans ma luciolemobile).

Dit comme ça, on dirait que je suis amère et que je n'ai tiré aucun bénéfice de mes vacances ; que nenni, elles furent excellentes !

Avant de parler liens grands maternels et Rioja (principale composante actuelle de mon système sanguin, avec la bière Estrella Damm), parlons de (vraie) fiction.

Le destin miraculeux d'Edgar Mint, tout d'abord, une très bonne surprise, assez atypique, avec une fin tu m'en diras des nouvelles (attention pavé).

Dans la catégorie moins bien le manuel de la mauvaise mère, pas désagréable mais sur la grossesse adolescente britannique, n'égale pas Slam de Nick Hornby.

Le dit Nick Hornby qui aurait pu se passer de la bonté, mode d'emploi, thème intéressant, mais qui s'effiloche rapidement.

Entre deux magazine féminins que me conserve religieusement ma moman, me suis envoyé
les témoins de la mariée (tous, l'un après l'autre et en 3 heures ) ; et bien ça se confirme, je n'aime pas le roman français ; je me demande si le style et le scénario du Elle n° 21548 n'étaient pas meilleurs (c'est dire).

Avant de me finir sur perte et fracas, là du style, de l'humour, du rythme en veux tu en voilà.

Puis est venu le traditionnel moment d'angoisse de fin de vacances à l'étranger où je suis à court de lecture (d'où course à la librairie francophone, plus fructueuse à Barcelone qu'à Kalkan - Turquie) ; et là je me suis acheté les piliers de la Terre recommandé par l'un d'entre vous pendant ma grossesse, en me disant qu'avec ça j'avais de quoi voir venir (finalement pas encore commencé car j'ai retrouvé des vieux Marie pas Claire sous le siège de voiture).

Bientot chez la Luciole, les films et les séries de l'été (si si j'insiste)

lundi 6 septembre 2010

yihaaaaaaaaaaa !


c'est les vacances !
tant qu'on peut, on part en septembre une fois encore.
C'est toujours une petite jubilation perso de partir quand tout le monde revient la mine sombre, pile au moment où les bouchons se reforment et trois tonnes de publicité "spéciale RENTREE" envahissent la boîte aux lettres.
Au programme : d'abord le Pas de Calais chez ma môman puis la Catalogne (empreinte carbone vous avez dit ? ) .
Dès dès le premier samedi soir je me la joue Elizabeth-Badinter-style en laissant Knut avec le Sultan et sa grand mère pour aller danser sur la table d'un rade à matelots de Boulogne sur Mer (en vrai passer une soirée en compagnie de trentenaires fonctionnaires, mais ça fait moins classe) ; j'éprouve à peine une petite pointe de culpabilité ; le Sultan parlera empire ottoman, ma mère parlera "secret story" , le tout devant une pizza fraîchement décongelée, ça ne peut que parfaitement se passer (ou bien ?).

edit d'aujourd'hui : pour des raisons de désorganisation blogguesque totale, la partie "pas de calais" est déjà derrière nous à l'heure qu'il est et nous faisons une étape à la maison avant de repartir vers le Sud ; récit plus tard

Je maîtrise parfaitement le dépliage de l'abri anti UV pop up de chez Décathlon ; et à la piscine, j'attise déjà la jalousie des autres parents devant la grâce avec laquelle je replie l'engin ( la première fois , prévoir tout de même trois visionnages au bas mot de la vidéo du site de Décathlon ).

Et grâce à nos petits week ends depuis le début de l'année ( Marseille, Lyon) , j'ai intégré le théorème dit du déplacement avec nain : "tout voyage avec le nain implique un transport de matériel de masse égale à 4 fois le poids du dit nain ,et au moins 10 fois son volume " ; bref on a acheté un coffre de toit poétiquement nommé Bermudes, ce qui n'améliore pas le style de la Sultan-mobile ni son accoustique, mais va nous retirer une fière chandelle du pied.